La seconde guerre mondiale, véritable fléau ayant ravagé toute la planète. Des morts, il y en a eu. Les survivants des combats, beaucoup moins. Les dommages sur la terre, incalculables. Seulement, personne ne se souciait de ce que la planète bleue pouvait bien ressentir à cette époque, mais il est à présent trop tard pour se remettre en question... Les braises encore chaudes de la guerre n'allaient pas être ravivé par une flamme venant d'un des pays ennemis, non, le brasier fut apporté par la Terre elle même. Des créatures, sortant du sol, arrivant par les airs, venaient de faire leur entrée, des monstres de terre, de pierre et de chair. N'ayant pour autre but que d'exterminer la race humaine ainsi que toutes les créations de celle-ci. Rapidement, plus de la moitié de la population mondiale fut décimée, les monstres, eux n'étaient que plus nombreux et impossible a arrêter. Seule une chose pouvait freiner leur course à l'extermination.
Le plomb était la solution, ces créatures craignaient uniquement cet alliage chimique créé par l'homme il y a des années de ça. Pour autant rien n'endigua cette réelle invasion de créatures sinistres, les armes ayant du être repensées, fabriqués et remaniées. Le temps était cruellement manquant. Seul un pays avait su tirer son épingle du jeu, non pas en essayant de créer des armes, mais en créant des structures en plombs. Ces véritables mastodontes de plomb, similaire à des monolithes, englobaient tout Tokyo pour empêcher les créatures de pénétrer dans la ville, et c'est ce qu'il se passait. A l'abri derrière ces grandes barrières, la civilisation Japonaise pu enfin réfléchir à de nouveaux armements.
Et c'est en réfléchissant à ces nouveau moyens de défense qu'une idée germa dans l'esprit d'un scientifique, celle de croiser les identités génétiques des monstres avec les humains. Au début véritable fiasco, créant par la suite des armes humaines à usage unique pour finir par créer des hybrides fiable et résistant. A présent, le Japon essaye de survivre au massacre des monstres, essayant eux aussi d'en réduire le nombre. Quelle sera votre manière de voir le monde ? Quelle pierre apporterez vous à l'édifice de la survie humaine ?
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